Moi, c'est Manon Schmitt, 19 ans, future communicante et photographe amatrice.
Mes études : La communication comme évidence
Actuellement étudiante en Information-Communication à l’IUT de Besançon, je découvre le monde de la comm’ entre campagnes, stratégies et créations visuelles. Ce domaine m’offre une multitude de possibilités et je suis certaine d’y trouver toujours quelque chose qui me passionnera. Je ne sais pas encore précisément où je veux aller, mais je suis convaincue que la communication est mon futur.
Mon quotidien étudiant : jongler entre plusieurs casquettes
La semaine, je suis étudiante, entre cours, projets de groupe et quelques photos par-ci par-là. Le week-end, je deviens job étudiante chez Hyper U, tout en gardant un pied sur le terrain de basket, que ce soit en tant que officielle de table ou supportrice. L’été, je range mon appareil photo pour enfiler le tablier de barmaid, limonadière, glacière ou réceptionniste dans des campings ou bars. Une vie bien remplie, où chaque journée est différente de la précédente… et où le café (avec sucre, bien sûr) est mon meilleur allié.
La photo : + à l’aise à shooter qu’à poser...


Depuis 2020, j’immortalise des moments, que ce soit des mariages, des matchs de basket ou des événements presse. Ce qui n’était pas juste un passe-temps mais une activité que j’aimais énormément est aujourd’hui une vraie corde à mon arc. Mon appareil photo est mon meilleur allié… surtout quand il s’agit de capturer des émotions sans trop parler (parce que oui, derrière l’objectif, je suis plus à l’aise que devant). Des clubs de basket m’ont fait confiance pour leurs matchs, j’ai eu la chance de réaliser des reportages pour Le Progrès, j’ai été payée pour couvrir des mariages et des événements d’entreprise… et même obtenu des accréditations dans des clubs pros. Chaque opportunité est une nouvelle façon d’apprendre, de capter l’instant et de me prouver que cette passion pourrait bien devenir plus qu’une passion.

Le basket : une passion qui rythme ma vie
Depuis mes 7 ans, je vis basket. J’ai intégré un centre d’entraînement pendant mes années lycée avec des séances tous les jours, des matchs chaque week-end – un avec les filles de mon âge, un autre avec les seniors en Nationale 3, et parfois en Nationale 2. J’ai aussi découvert l’envers du décor en devenant entraîneuse pour des jeunes âgés de 7 à 11 ans. Aujourd’hui, je suis toujours sur les terrains en tant que officielle de table de marque, que ce soit pour gérer le chronomètre de jeu, le chronomètre des tirs ou la feuille de marque. C’est plus qu’un sport pour moi, c’est un véritable mode de vie.
